Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

ITHYAALA

25 février 2014

Ecole Guenzet 1975

Ecole 1975

Publicité
Publicité
19 février 2014

Abdelhamid BENADOUDA

 

LA journé du chahid 18 Février , 

Le chahid BENADOUDA Abdelhamid , frère de l'ex maire de Guenzet Amar BENADOUDA.

SOURCE :

http://ruedarwin.over-blog.com/article-benadouda-abdelhamid-102368814.html

BENADOUDA-Abdelhamid-et-compagnon

            Abdelhamid BENADOUDA(Si Ali Tebib) à droite avec un frère d'armes qui périra avec lui, les armes à la main, dans le Col de Berriche (il s'agirait du Chahid  BENDJABBALAH).

Né le 23 Mars 1934,

 Il habitait au n° 27 de la rue Darwin, Villa Fortunée appelée aujourd’hui « Dar el Hadj Khalfa » du nom de son père.

 Abdelhamid a fait normalement son cursus d’études secondaires qui l’ont mené jusqu’au Baccalauréat (au Collège Moderne du Champs de Manœuvres) et qu’il interrompra à la suite de l’appel à la grève des étudiants lancé par le F.L.N. en Mai 1956.

 Il a été l’un des principaux promoteurs du mouvement estudiantin au sein de l’Union Générale de Etudiants Algériens.

Auparavant, il avait activé au sein du Groupe « Emir Khaled » des Scouts Musulmans Algériens de Belcourt et avait le grade d’Eclaireur de la patrouille des Aigles.

 (Se référer à ce sujet à l’ouvrage « Le Groupe Emir Khaled de Belcourt » de Mohamed Tayeb  ILLOUL et Ali AROUA, Editions Dahlab, Alger 1991).

 C’est certainement dans ce Groupe des S.M.A. qu’il avait forgé ses convictions patriotiques en plus  de l’apport de l’atmosphère nationaliste qui régnait dans sa famille et dans son entourage immédiat (nous aurons l’occasion de rappeler le parcours de ses frères Ammar et Mustapha).

 Abdelhamid avait  été condamnéà mort par contumace par le Tribunal d'Alger.

Il rejoindra l’Armée de Libération Nationale en Août 1956.

 Il sera affecté à la Wilaya I, (au Maquis des Aurès dans la région d'Aïn Touta) dont il deviendra l’un des officiers les plus estimés.

 Chef de Région, il avait pour nom de guerre "Si Ali" nom auquel les habitants de Aïn Touta et moudjahidines avaient ajoutés "Tebib" (médecin) parcequ'il soignait ses frères de combat et les citoyens.

Si Ali Tebib" mènera le combat pour la libération du pays pendant quatre ans avant de tomber au champs d’honneur, les armes à la main, le soir du 4 Août 1960 dans le col de Berriche dans les environs de Mac Mahon (Aïn Touta – Wilaya I, Zone I, Région II).

 Les militaires français enlevèrent son corps à bord d'un hélicoptère et l'exposèrent sur la place publique d'Aïn Touta pour montrer aux algériens qu'il avait bien été "éliminé".

 Mais son souvenir est toujours vivace auprés de la population de  la région et de ses compagnons d'armes qui sont toujours en vie.

 L'hôpital d'Aïn Touta porte son nom qui sera donné également au nouvel hôpital qui devrait être inauguré ce mois de Juillet 2012.

 Par ailleurs, une rue d’Alger, près de la Place du 1er Mai, porte également  son nom.

 

 

17 février 2014

Une jolie photo de Guenzet prise apparement du

 

Une jolie photo de Guenzet prise apparement du côté de ighouden taourirt thimenqqache ...ou bien de la montagne 

Les maisons qui se trouvent à droite bénéficient d'une vue de presque tout le village , en face d eux il ya ledjmaa , le cimetière , et louta nessouq .De l autre c^oté , qui nest pas visible sur la photo ils peuvent voir l'ecole Medouni , souk ouadda et louta nbouqer'oun.

L une de ces maisons a été rasée pendant la Guerre car les français ont subit des rafales venant de ce côté .Les soldats ont ramassé jusqu au dernier bloc ne laissant rien au occupant de la maison, maison qui a été reconstruite après la guerre .

 

 

1911024_1535223440035422_160877230_o

5 février 2014

"L'Homme et ses droits dans le coran" de Tahar GAID

 

Bonjour ith yaala 

 

Un article sur le quotidien "Lexpression" , d'aujourd hui 5 Février 2014 qui parle de Tahar Gaid ,

Kamel Bouchama a écrit un article très intressant qui parle de Tahar Gaid ainsi que de son dernier Livre " L'homme et ses droits dans le coran"

Bonne lecture .

tahar Gaid à accra

Tahar Gaïd avec Kwamé N'Krumah en 1964 à Accra (Ghana

 

http://www.lexpressiondz.com/culture/189087-le-coran-a-pour-objectif-l-homme.html

 

«Aussi souvent que nous le lisons (le Coran), au départ et à chaque fois, il nous repousse. Mais soudain il séduit, étonne et finit par forcer notre révérence. Son style, en harmonie avec son contenu et son objectif, est sévère, grandiose, terrible, à jamais sublime. Ainsi ce livre continuera d'exercer une forte influence sur les temps à venir.» Goethe

Lorsqu'on est en présence d'un homme de la trempe de Si Tahar Gaïd et que l'on soit obligé de le présenter aux gens ou de faire son portrait lors d'un hommage, que peut-on dire, rapidement, spontanément pour le qualifier? Pour ma part, je dirais que c'est un homme de culture, principalement, avant de le raconter en tant que militant-nationaliste et diplomate. D'ailleurs, lui-même se plaît dans ce rôle auquel il était prédestiné, du fait qu'il a baigné dans ce climat de culture, lorsque son père se trouvait dans l'enseignement et a eu de célèbres personnages comme élèves dont El Fodhil El Ourtilani. C'est de famille, assurément. Son frère également, Mouloud Gaïd, s'est fait remarquer dans l'écriture de l'histoire de nos ancêtres et a laissé des oeuvres importantes. Malika, sa soeur, elle aussi bien cultivée, a eu un autre destin. Elle a écrit son nom dans le registre des martyrs dans les rangs de l'ALN, pendant la glorieuse lutte de Libération nationale. Ainsi, aujourd'hui, Si Tahar ne parle plus ou très peu de son parcours de moudjahid auprès de Abane Ramdane et autres dirigeants, de fondateur de l'Ugta avec Bourouiba et Aïssat Idir, de ses années d'incarcération dans les geôles de Berrouaghia, Bossuet, Paul Cazelles, Saint-Leu, Barberousse, de ses importantes missions, après l'indépendance, en tant qu'ambassadeur au Ghana et en Tanzanie, couvrant pratiquement toute l'Afrique australe. C'est du passé - affirme-t-il - qui l'honore certes et qui lui rappelle de bons souvenirs qui l'enorgueillissent, mais qu'il ne ressasse pas outre mesure et n'en fait pas un registre du commerce, comme d'aucuns, qui n'ont rien d'autres à dérouler. Pour lui, la culture c'est quelque chose qui reste chez l'homme lorsqu'il a tout oublié.
Si Tahar, calme, serein, avenant, circonspect et souriant, vous reçoit chez lui, dans un décor apaisant où les livres, les bibelots de grande valeur et les tableaux de maîtres l'emportent sur le faste d'un ameublement excentrique que certains arborent, malheureusement, dans un esprit de parvenu. Chez lui, dans son «home» accueillant, plein de chaleur, où une bibliothèque bien fournie fait office d'université, selon l'idée judicieuse de Thomas Carlyle, historien écossais, qui disait: «La véritable université de nos jours est une collection de livres», Si Tahar se plaît à vous entretenir du dernier ouvrage qui paraît chez l'éditeur untel, ou de la conférence dans laquelle il explique, par exemple, la relation entre la spiritualité islamique et le monde contemporain. Il est constamment sur la brèche, il ne s'arrête pas d'expliquer, de rectifier, d'orienter et d'apporter son grain de sel en rebondissant toujours sur des questions qu'il maîtrise bien, souvent à la perfection.

Concepteur de travaux didactiques de haute facture
On est toujours content quand on le rencontre. D'abord parce que c'est un ancien élève de la performante Médersa «Etha'alibiya» d'Alger, ensuite parce que c'est un puits de science et, avec lui, on en sort constamment édifié après des discussions passionnées, qui vous arrêtent et vous absorbent sur nombre de sujets. Si Tahar est incontestablement un érudit. Il est plutôt un «miracle divin dans sa contribution», quand il persévère dans l'interprétation du Livre saint, réfutant avec une certaine dextérité, sans choquer quiconque, cette épithète d'islamologue qui lui colle à la peau. En effet, cet enfant de Timengache, dans le pays des Béni Yala, en Basse-Kabylie, qui a fait de solides études à Constantine, ensuite à la Médersa d'Alger, aux côtés des Smaïl Hamdani, Boualem Bessaïeh, Mohamed Sahnoun, Lakhdar Brahimi, et autres dont Abderrahmane Benhamida, qui furent ambassadeurs, ministres et même un chef de gouvernement parmi eux, s'est spécialisé dans l'explication du droit musulman et sur les prodigieuses études sociétales faites par les grands de ce monde à l'image d'Ibn Khaldoun. Sa parfaite pédagogie et ses vastes connaissances dans le domaine de la religion l'ont mené à concevoir des travaux didactiques de haute facture qui servent, incontestablement, à élucider des questions épineuses, au vu des différentes crises, morales ou autres, qui secouent le monde d'aujourd'hui et des alternatives possibles que peut apporter la spiritualité. Ses écrits, bien pensés, à travers une production intellectuelle prolifique, ouvrent «des pistes de réflexion qui, si elles ne sont pas inédites, ont été très peu prospectées», comme l'écrivait si bien Fodhil Belloul.
C'est ainsi que la vision de Si Tahar Gaïd sur l'Islam actuel et son destin au regard de sa condition aux mains de certaines gens insignifiants qui ont fait dans le discours emphatique plutôt que sérieux, est de militer, selon ses propres termes, «pour sortir la religion des fausses interprétations que certains apprentis sorciers veulent lui donner, car ce qui nous manque encore aujourd'hui, ce sont d'authentiques penseurs, des théologiens avérés». Oui, il milite durement car le retard de la pensée islamique est là, et il nous défie. «J'en appelle à la libération des énergies qui doivent se décomplexer, dit-il, en dépoussiérant la notion d'islamisme et en la remettant sur ses véritables rails.» Pour lui, le devoir des intellectuels musulmans est de définir le pourquoi du mouvement de la pensée, de préciser ce que nous sommes réellement et enfin de savoir nous démarquer du monde occidental, tout en nous insérant dans la sphère de la création universelle.

Son dernier-né: «L'homme et ses droits dans le Coran»
N'est-ce pas qu'au vu de la situation dans laquelle végète l'Islam, et qui n'est pas dans la trajectoire du progrès, Si Tahar Gaïd a pris le taureau par les cornes - comme à son habitude - et s'est inscrit en droite ligne de l'apôtre conscient pour apporter ses convictions de l'éducateur au sein d'une société qui a beaucoup à apprendre? Son dernier-né, «L'homme et ses droits dans le Coran», qui vient s'ajouter à sa production littéraire, déjà très abondante et riche de par son contenu, poursuit deux objectifs. Il les résume ainsi. Le premier démontre que les principes qui nous viennent de l'Occident glorifiant leur civilisation et leurs réalisations juridiques constituent en réalité l'abécédaire de l'Islam et sont contenus dans le Coran depuis plus de quatorze siècles. Le deuxième attire l'attention des musulmans sur le contenu de leur Livre sacré en matière de valeurs relatives aux droits de l'homme pour qu'ils prennent conscience de leur portée véritable.
En réalité, l'ouvrage est une mine d'or pour celui qui veut s'enrichir. Mais de quoi, principalement? ose dire celui qui veut aller très loin dans la compréhension. De ces «valeurs qui clarifient les droits établis pour chaque homme musulman ou non, et qui développent leur contenu dans les différents domaines religieux, politique, social ou économique», nous répond l'auteur, convaincu de la justesse de ses idées. Toutes ces valeurs sont consignées dans cinq grands chapitres bien fournis où se bousculent les informations rarement présentées ou, comme expliqué auparavant, «très peu prospectées». Si Tahar Gaïd qui a le mérite d'aller dans les profondeurs de l'exégèse - ses nombreuses oeuvres agencées de sérieuses références en témoignent - nous présente, dans cette nouvelle livraison, un travail didactique où le lecteur peut déambuler entre différents sujets, allant de la réflexion sur le Coran, jusqu'au droit à la justice et son instauration pour une société juste et humaine. Ainsi, dans ce foisonnement d'idées, judicieusement posées, l'auteur va expliquer ce bel Islam, en utilisant toutes les facettes du langage direct pour développer, convaincre et transmettre des messages qui génèrent chez les gens des réflexes nouveaux pouvant conduire vers d'autres horizons, autrement plus ouverts. Et la matière existe dans «L'homme et ses droits dans le Coran». Elle s'étale donc à travers les points qui retiennent l'attention et qui sont principalement: la relation entre la foi et la politique, l'Islam et la laïcité, l'État de droit et la civilisation, la liberté en Islam, le droit à la liberté religieuse, le droit à la liberté d'opinion et d'expression, le pluralisme politique, la longue lutte du Coran contre le despotisme et les despotes, enfin et sans être exhaustif, le droit à l'exercice de la concertation (shûra), la liberté et la démocratie.

Le Coran, une incitation à penser et à agir en pleine responsabilité
N'est-ce pas une grande révolution multidimensionnelle, celle qui nous vient du Coran..., et qui atteint tous les aspects de la vie de l'homme? En effet, le Livre saint, explique Si Tahar Gaïd, «a élevé l'homme au niveau qui correspond à l'honneur, au respect et à la dignité qui lui sont dus...». C'est pour cela que dans cet ouvrage, tout est pris en considération, notamment ces questions pertinentes et ces sujets, quelquefois tabous, qui ont soulevé de grandes polémiques au sein des sociétés musulmanes. L'auteur ne parle pas de pratiques cultuelles, mais s'adresse directement à l'intelligence, en lui offrant la conception du bel Islam, celui qui a pu, en un laps de temps très court, conquérir de vastes contrées dans le monde, par la persuasion de son message de paix et de progrès.
Pour cette question principalement, l'auteur avertit au début de l'ouvrage, par un rappel qui peut orienter le lecteur vers plus d'intellection. Il insiste pour dire que «ce livre porte sur la doctrine de l'Islam et non pas sur sa pratique car, comme nous le savons, les violations des droits de l'homme se produisent couramment dans les pays islamiques. Il en est de même, en raison d'un héritage ancien, des discriminations sexistes qui définissent la relation homme-femme [...] A cela s'ajoute, dans nombre de pays arabes et musulmans, l'absence de liberté de conscience, d'opinion et d'expression, pourtant reconnue par le Coran».
Et qui va le contredire franchement quand cet Homme, bien instruit des «choses de l'Islam», ayant côtoyé les grands maîtres de la théologie, va à l'encontre d'une situation déprimante, montrant une religion ballottée entre l'incompréhension et l'exercice suranné de bon nombre de pratiquants. Si Tahar Gaïd vient avec son oeuvre sur le Coran, miracle de l'Islam dans sa phase ultime, nous instruire de ses bienfaits. Alors, il nous rappelle ce qui nous intéresse, aujourd'hui, dans cette Écriture, indépendamment bien sûr de ses grandes orientations dans tous les domaines de la vie. Il nous fait la démonstration de la logique de ce Livre qui nous incite à penser et à agir en pleine responsabilité concernant ces questions récurrentes que se pose notre monde en manque de liberté et de démocratie.
L'auteur répond dans l'objectivité qui est sienne. Et, d'emblée, il nous situe dans une dialectique, on ne peut plus raisonnable, quand il nous affirme que dans le Coran, «le concept de la liberté tourne autour d'un axe fondamental qui est l'exercice, sans contrainte, des choix et des vouloirs de l'homme». Qu'il est noble cet Islam, s'écriera celui qui, pour la première fois, entend de si belles paroles! Mais on ne restera pas sur notre faim avec Si Tahar Gaïd qui enchaîne aussitôt sur la liberté de conscience, contenue dans le Coran, en disant «que l'homme ne doit pas être privé de son droit de choisir la voie à laquelle le fait parvenir sa réflexion et dans laquelle son âme se sent rassérénée...». La liberté d'opinion est elle aussi définie pour élever l'homme au rang qui lui est dû. Et l'auteur insiste sur cet aspect en rappelant qu'«en Islam, il est libre de son opinion construite sur la base de sa réflexion personnelle, sans subordination ou imitation de quelqu'un. Il lui appartient d'exprimer ses idées selon la forme qu'il veut, aussi longtemps qu'elles ne nuisent pas à la société.»
Enfin, l'auteur, comme signalé auparavant, n'a pas omis d'élucider, pour nous les présenter, cette relation entre la liberté et la démocratie, de même que celle entre la liberté religieuse et l'apostasie. Pour les deux relations, il a été chercher dans tous les versets pour se présenter aux lecteurs avec des affirmations qui les édifient sur la pertinence de l'esprit du Livre saint qui, venant de l'Omniscient, réserve une place importante aux droits de l'homme.
Si Tahar Gaïd, par cet ouvrage démontre, encore une fois, à ses lecteurs, qu'il ne fait pas dans la fadaise, mais toujours dans le consistant comme il les a toujours habitués. Quant à nous, pour être francs avec lui, nous lui disons qu'on ne peut aller plus loin dans la présentation de cet ouvrage, tant il est difficile de résumer un monument de cette grandeur. Si Tahar Gaïd est tellement fécond dans ses idées, riche et profond dans ses interprétations qu'il est quasiment difficile de tout dire sur lui par rapport à l'espace qui nous est imparti. En tout cas, une seule recommandation est à faire pour ce travail intéressant: lisez vite «L'homme et ses droits dans le Coran», et vous saurez ce qu'est le bel Islam.

*Auteur
«L'homme et ses droits dans le Coran» Tahar Gaïd, 296 pages Samar, Éditions Octobre 2013

 

3 février 2014

BONjour ith yaala , Les travaux avancent bien

 

BONjour ith yaala , 

Les travaux avancent bien pour la construction de la mosquée de Guenzet, 

Elle est déja  belle , elle le sera encore plus à la fin des travaux inchallah .

 

mosquee1mosquee2

mosquee5

mosquee6

mosquee7

 

 

Publicité
Publicité
30 janvier 2014

un coin de mon village:SI IGHDEM M’ÉTAIT CONTE

 

 

543367_491550727549803_871741772_n

Lyazid NIth Yaala :
Pieds nus, torse bombé et cheveux au vent, l’enfant"
bouhou "(abbés Ouali) âgé juste de sept ans, déballe le monticule (akerou h'mana ), à vive allure, et descend vers les maisons , localité d’Ighdem, une bourgade en plein maquis situé entre Guenzet et Aourir Oueulmi , en cet après midi de l’année 1957, et crie a tue tête et à gorge déployée " la fin du monde est pour demain !!! Oh gens du village, préparez-vous ; la fin est proche !!"
Affairé aux champs, personne ne lui prêtait attention, seul, debout au seuil de la porte hadj Lakhder (Bahmed Lakhder) lui réplique sourire aux lèvres :
"Tais toi, espèce de morveux, c’est tout ce que tu nous souhaitent avec la dureté de la vie et l’armée françaises sur le dos"
Il faut dire,que La vie était dure à ighdem,un petite village retiré,(les bahmed)constitué de quelque dizaines d’âmes,qui vit a l’autarcie et se suffit grâce à la force du jarret et au travail de la terre,
Personne ne se doutait que le lendemain et les jours d’après ne seront plus les mêmes ,car à l’aube , hadj Lakhder sorti faire ses ablutions à l’appel du muezzin, remarqua juste en face de lui à quelques centaines de mètres, la haut, sur la crête,des ombres furtives qu’il distinguait à peine, à la lueur du petit matin, se faufilaient entre arbres et broussards, pris de peur, retourna à l’intérieure de la maison ,réveilla femmes ,enfants et hommes « les soldats sont là !!! Ils encercle le village»dit il a l’assistance, cachez enfants et adolescents, aux hommes de s’enfuir, l’armée française sera sans pitié, elle ne vous fera aucun cadeau.

A vrai dire, le vieillard savait que la veille, un groupe de moudjahiddines y bivouaqua, comme il le fait assez souvent, dans une maison à la lisière de la foret, il mangea et se reposa dans ce lieu de replis, une véritable base arrière et de loqistique. Le jour d’avant, Le groupe s’est accroché avec un bataillon de parachutistes à quelques jets de pierres de là, à la rivière «ith halla », qui fait face au mont de « Thilla ».l’une des crêtes les plus abrites et les plus élevées des montagnes nith yaala ;au cours de la bataille et lors du replis, un djoundi avait perdu des chargeurs de fusil mitrailleur, son chef lui intima l’ordre de le récupérer coûte que coûte,si non il passera par les armes,le pauvre djoundi ne rechigna point et se met immédiatement à la recherche des chargeurs,il passa toute la journée à ratisser la zone de combat sans succès,las des recherches, la peur au ventre des représailles,il pris la décision de se rendre à l’ennemi avec armes et bagages,et fournis des renseignements qui amena l’armée française à encercler le village d’abord et de traquer ensuite le groupe qui s’est déplacé de la maison en contre bas vers la rivière «Tassift Nith Halla »

Le soleil était au zénith, lorsque les premiers soldats en pris positions aux quatre coins du village, rassemblèrent les hommes qui n’ont pu s’enfuir, et tout à coups des coups de rafales d'armes automatiques déchirèrent le silence, l'écho venait de la rivière, le groupe de moudjahiddines s’est retrouvé face à face avec un groupe de parachutistes venant d’ith hafed,
Localité à quelques encablures de la rivière,la bataille faisait rage,et les soldat stationné au village se rendirent à la rivière pour prêter main forte a leurs collègues.

Pendant ce temps, Saïd (Ouali Saïd), caché avec son cousin mouloud (bahmed mouloud) à l’intérieur du mangeoire dans l’étable à bestiaux , sortent et saisissent l’occasion de l'absence momentanée des soldats, pour s’enfuir,said empoigna la main de son cousin et tout deux prennent la fuite, arrivé à proximité de la dernière maison du village ,Saïd, remarqua un homme assis au pieds de la porte ,c’était Salah (Bahmed Salah) ,il se tourna vers lui et dit »qu’est ce que tu fais là ,qu'attends-tu pour fuir ?» Salah naïf comme il était ou simplement le destin qui l’appela, répondit avec résiliation « ils (les soldats) m’ont dit de rester là ».
Les deux enfants sans tarder prirent leurs jambes au cou, et courraient vers une destination inconnues, ils avalèrent des kilomètres à travers monts et vaux jusqu'à ce qu’il furent arrêter à un endroit boisé, par des appelles presque inaudibles venants des fourrés avoisinants, l’appel du père à son fils, c’était un autre groupe de moudjahidines qui suivait de loin ce qui se passait au village (Ouali mouloud et belouchet mouloud ….).

le soir, au coucher , les soldats remontèrent au village après une rude bataille,ou les moudjahidines ont laissé huit des leurs,ils retrouvèrent Salah assis à la même place ,ils le prirent avec eux ,puis sur le même parcours à quelques centaines de mètres des maisons; ils tombèrent nez à nez avec l’hadi (Bahmed l’hadi),qu’ils exécute de sang froid et à bout portant, plus loin il font de même avec Salah au lieu dit " takharoubth " et prirent avec eux « layachi » (bahmed layachi) qu’ils ont du abattre également,et que sa famille n’a pu jamais retrouver ni sa tombe ni son corps. A cet endroit la famille bahmed a érigé une stèle dédiée à leur mémoire et à la mémoire de tous les martyres, 

C’est à partir de cette année en 1957 que l’ordre d’évacuation du village " Ighdem " fut donné par l’armée française, le village laissé à l’abondons puis rasé par l’armée coloniale, à ce jour, des maisons, il en reste que des ruines, mais ne dit-on pas que même les ruines ont des couleurs. 

Les Bahmed, le cœur en lambeau et la mort dans l'âme quittèrent à jamais "Ighdem" avec biens et hommes, les uns s'établirent à Guenzet, d'autres à Sétif, ou ils possédaient également toits et biens,

Les Bahmed qui vivait à" Ighdem" ce temps là
*Bahmed Lakhder époux Issaoune Yamina 
-Bahmed Abdelkader, époux de Bahmed Khadîdja 
-Bahmed Mustapha né en 1950/2013
-Bahmed Nacer né en 1955
-Bahmed Hachemi époux Messaoud Aicha 
-Bahmed Mouloud
-Bahmed Khaled
-Bahmed Aldjia épouse (1920) Ouali Mouloud (chahid) (1911/1959) 
-Ouali Saïd né en 1941
-Ouali yahia né en 1947
-Ouali abbés né en 1950
-Ouali Boubekeur né en 1952
-Bahmed Fatima épouse Bahmed Ali 
-Bahmed Nora
-Bahmed Daoud né en 1947
-Bahmed Idris né en 1952
-Bahmed Lila née en 1955
-Bahmed Djamila (1941/2014) épouse Bouchemla Med zine 
-Bahmed Tama épouse Bahmed Belkacem 
-Bahmed fodil
-Bahmed ounissa 
-bahmed layachi (chahid)
*Bahmed Slimane époux de Belgaras zahra 
-Bahmed Akli époux Belaid baya 
-Bahmed zoubir né en 1952
-Bahmed zine 
-Bahmed Mabrouk
-Bahmed Taous
-Bahmed Ouali
-Bahmed Yahia né en 1945
-Bahmed Khedidja
-Bahmed Kholfa 
*Bahmed Mohand chérif dit Saïd époux de Imma Toutou 
-Bahmed l'hadi(chahid) époux Bahmed tata 
-Bahmed Saadi
-Bahmed Salah époux Zaba t’menquache 
-Bahmed Rabie
-Bahmed Ramdane 
-Bahmed Meziane 
-bahmed Messaoud (chahid)
-bahmed Bachir 
*Bahmed Mokrane
*Bahmed Rabah époux de Cheragui Daouia 
-Bahmed Belkacem
-Bahmed Smail
-Bahmed Boubekeur
-Bahmed Nadir
-Bahmed Youcef 
-Bahmed Khlifa
-Bahmed el Amria 
*Bahmed Tahar epoux Belaid Messaouda
-Bahmed Mahfoud
-Bahmed Mohamed
-Bahmed noureddine
-Bahmed Arezki
-Bahmed H’mana
*Bahmed Mahmoud époux Kerma Mebarka
*Bahmed Amar 
Bahmed abdelkrim
Bahmed abdelhakim 
l.ouali

 

24 janvier 2014

Tittestt pendant la guerre

 

 

1090886_688741314504340_2042445803_o

1506131_688740571171081_1081346048_o

1015736_688740251171113_2041485146_o

5 janvier 2014

COLLECTE DE DONS POUR LAMOSQUEE ELATIK A TRAVERS LA WILAYA DE SETIF

 L'ASSOCIATION RELIGIEUSE DE LA MOSQUEE AL JOUMOUA AL ATTIK GUENZET communique :

Dans le cadre de la collecte de l'argent dans les mosquée,la direction des affaires religieuse de la wilaya de Sétif vient de programmer notre mosquée pour le 10 Janvier 2014 à travers toute la wilaya.

 Compte tenu du nombre important de communes relevant de la wilaya de Sétif ( environ 60 communes) et afin de couvrir l'ensemble des mosquées , nous vous invitons à venir nombreux pour représenter EL atik .

Merci de nous confirmer votre présence.

 

mosquee 3

2 janvier 2014

C'EST AVEC UNE GRANDE TRISTESSE QUE NOUS VENONS

 

C'EST AVEC UNE GRANDE TRISTESSE QUE NOUS VENONS D'APPRENDRE LE DÉCÈS DE :BAHMED DJAMILA (ÉPOUSE BOUCHEMLA), LE 01/01/2014 A SETIF.L'ENTERREMENT AURA LIEU LE VENDREDI 03/01/2014 AU CIMETIÈRE IGHIL LAARBA A GUENZET;NOS SINCÈRES CONDOLÉANCES A SA FAMILLE ET AUX FAMILLES BAHMED ET BOUCHEMLA.

30 décembre 2013

Renouvellement du bureau de l'association "Azar nith Yaala"

 

L'association "Azar nith yaala " communique : 

 l’association culturelle " Azar n'ith yaala " a renouvelé son Agrément le 29/12/1013 en présence de l'huissier de justice Mr Bourich kamel qui a supervisé l'installation des nouveaux membres de cette association .

je vous présente les membres du Bureau 
selon les résultats finales déclarés par l'huissier de justice :

HAFRI Abdellatif ............. président
MOUHOUN Salim ............ vice président
BAHMED Fadhel ............. 2 eme adjoint
HAFRI Amer ................. secrétaire général 
DRIKECH Abderazak ....... adjoint secrétaire 
BEYOUD Lyes ................. trésorier 
KHIAR Ahmed ............... adjoint Trésorier 
BARKAT Kamel ............. membre 
tachrift Yahia ............... membre

 

 

1555412_243154299179206_1355693651_n1544326_10202567034364612_973773974_n

 

 

 1526118_10202567029924501_950826919_n

1487448_775424869139869_643119010_n

1518489_10202567036724671_1432933335_n

1495457_775962169086139_288012873_n1499610_10202567037884700_1011917917_n

 

1511299_775899109092445_100897219_n1531531_776069419075414_954276123_n

26 décembre 2013

Association culturelle AZAR n’Ath yaala

 

Association culturelle AZAR n’Ath yaala communique :

L’association Azar n’ith yalla a l’honneur de vous informer et de vous demander de bien vouloir assister a l’assemblé générale pour le but de renouveler les membres de son bureau. Nous tenons à vous informer que la réunion aura lieux dimanche le 29 décembre à la maison de jeunes mouloud belhouchat*guenzet* a partir de 14 : 30 Votre présence est très importante .....................Soyez nombreux

azar

25 décembre 2013

بقلوب خاشعة و مؤمنة بقضاء الله و قدره تعلن عائلة

 


بقلوب خاشعة و مؤمنة بقضاء الله و قدره تعلن عائلة هباط عن وفاة المغفور لها بإذن الله هباط العلجة عن عمر: 23 عاما، وعليه فإن جنازتها ستشيع يوم الأربعاء 25 ديسمبر 2013، بمقبرة إغيل الخميس (قرية الشريعة)، بعد صلاة الظهر.
إنا لله و إنا إليه راجعون. 
• لكل قارئ لهذا النعي أن يدعو للمرحومة بالثبات و الغفران و أن يسأل لها فسيح الجنان.
17 décembre 2013

Guenzet mon beau village ( photo prise par Adhrar)

tout guenzet2

16 décembre 2013

LE chahid OUALI Mouloud

PAr Lyazid nith yaala

 

mon père (allah yarhem chouhada)
Le chahid : Ouali mouloud, l’aîné d’une fratrie de 5 enfants est né en juin 1911 à ikhlidjene, commune de Guenzet, il manifesta son militantisme à la cause nationale depuis son jeune age,en adhérant à l’association des ulémas algériens présidée par cheikh Ben Badis en 1952 à Paris.
il camouflait son activité pour la cause algérienne sous divers métiers, lorsqu’il décida de quitter l’atelier de menuiserie crée en association avec son oncle chergui fodil et de rejoindre la compagnie de transport des voyageurs (Motta), en qualité d’employé de bureau et y resta pendant 3 ans jusqu'à en 1941 :un subrefurge pour alimenter le maquis d’ith yaala en arme (djaout béni ourtilane) .
il gagne ensuite la France et y reste jusqu’au 1952 ou il exerça divers métiers dont un comme contre maître a l’usine de freins « bendix » tout en continuant son activité politique et militaire au sein de fédération du FLN en France.A cette date il regagne l’algerie,menu d’une mission en compagnie de 02 autres personnes le nommé Hocine Lahouel pour la capitale Alger,un pour Tizi ouzou et lui même Ouali mouloud pour la région de setif .en 1955 il monte au maquis suite à la découverte de l’armée française de la réalité de son activité ,il tomba au champs d’honneur en 1959 sous le grade d’adjudant,dans la région de la Fayette (Bougaa) sous le pseudonyme de guerre de « ben Ouali »

ouali mouloudchahid mouloud ouali

 

 

9 décembre 2013

AVIS DE DECES

 

La famille AOUN a la douleur de vous faire part du décès de leur père, fils et oncle Monsieur AOUN LAYACHI le 8 décembre 2013 à Lille (France). L'arrivée de la dépouille de Zi Layachi est prévue pour le Jeudi 12 Décembre à 16H00 au niveau de l'aéroport International Houari Boumédiene d'Alger. 
L'enterrement aura lieu dans son village Natal (Tizi Mejber), après la prière Hebdomadaire du Vendredi 13 Décembre. 

Ina lillah oua ina ilayhi rajioune

 

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
ITHYAALA
Publicité
ITHYAALA
Derniers commentaires
Newsletter
7 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 366 484
Pages
Archives
Publicité